Publié le 14 Janvier 2012

chante randoLE TUPINIER - GREZIEU la VARENNE (Centre nautique) 

... Sur les traces du Petit Train Lyon-Vaugneray

Départ : Carrefour du Tupinier (Grézieu la Varenne)
Distance : Aller-Retour : 4 km (le circuit emprunte l’ancien tracé du Petit Train... !)
Durée : 1 heure (1h30 si retour par le Chemin des Ondines)   

En bus : depuis Gorge du Loup (métro ligne D), prendre le bus 74 (Craponne, Vaugneray) - Arrêt Tupinier - trajet de 25 mns.

Se diriger vers le rond-point "Le Tupinier" (Sortie de Craponne par la Rue Principale pour se rendre sur la Route de Bordeaux en direction de Vaugneray/Grézieu).
Si vous êtes en voiture, se garer si possible avant d'atteindre le carrefour même, au niveau de la rue «le Tupinier» entre les n° 6 et 18.
De là prendre le trottoir à gauche  de la route en direction de Vaugneray. En le poursuivant tout droit, vous prenez l’ancienne route qui évite le rond-point. Quand on rejoint la route, la traverser sur le passage piéton, prendre tout droit une petite allée en gorre, puis à gauche une allée herbeuse qui passe près d'une villa et qui se continue, en longeant d'autres villas en direction de Grézieu.
5 minutes après vous traverserez une petite route goudronnée et continuerez toujours tout droit sur le sentier. En face de vous, légèrement sur votre droite vous apercevrez le clocher de l'église de Grézieu. Ce chemin se continue sur environ 250 mètres puis vous traverserez une deuxième petite route goudronnée. Continuer toujours tout droit. 150 mètres après, vous arrivez à la fin du chemin  pour tomber sur une autre rue goudronnée (Rue de l'Ancienne gare).
Continuer toujours tout droit et dans moins de 200 mètres vous arriverez sur la route (D30) de Grézieu qui vient du magasin Leclerc et qui rejoint le centre du village. A l'angle sur votre droite la MJC l'Agora.
Traversez cette rue sur le passage piétons, puis en remontant, tout de suite après prendre la première rue sur votre gauche (Impasse Louis Blanc), sur environ 200 mètres, jusqu'au début de l'allée herbeuse. Là commence un beau chemin indiqué "parcours de santé" et où se situait la ligne de chemin de fer que nous avons suivie depuis notre départ du Tupinier. Cet agréable sentier très champêtre vous fera découvrir un viaduc qui traverse le ruisseau de la Chaudanne. Continuer tout droit  pour arriver à un petit carrefour . En face, vous trouverez le Centre Nautique intercommunal de la CCVL (Communauté de Communes des Vallons du Lyonnais).
Pour revenir à votre point de départ, vous avez plusieurs possibilités :

- Faire demi-tour et rentrer par le même chemin qu'à l'aller.

- Rejoindre le centre de Grézieu par des petites routes (environ 35 minutes)  : prendre à droite le chemin des Ondines pour rejoindre la route départementale - RD 611 - que vous suivrez dans la direction de Grézieu. 300 mètres après cette intersection, vous rencontrez le cimetière de Grézieu sur votre gauche. Continuez tout droit et 500 mètres après vous rentrerez dans la Grand-Rue du village, que vous continuerez tout droit, même au carrefour du Petit Casino, jusqu’à la rue des Voyageurs, que vous prendrez sur la droite. Prendre le 1er chemin à gauche qui vous ramène au Tupinier.

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Rédigé par chante-ruisseau

Publié dans #Randonnées

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Publié le 14 Janvier 2012

ogmLe 20/07/2010, le Ministre de l'agriculture Bruno LEMAIRE a inscrit au catalogue français 36 variètés de maïs génétiquement modifié Monsanto MON 810 (interdit à la culture en France depuis le moratoire décidé en 2008) et 2 variétés de maïs T25 (résistant à un herbicide dont l'usage sur le maïs est interdit en Europe). Si ce n'est pour satisfaire les lobbies, pourquoi faciliter la commercialisation de ces semences alors que la réglementation les juge douteuses voire nocives ?
Fin juillet 2010, c'est la Commission européenne qui a autorisé la commercialisation en UE de 6 nouveaux maïs OGM destinés à l'alimentation humaine et animale.
Les 11 et 12/10/2010 avait lieu à Marmande le procès de 86 faucheurs, suite à la neutralisation de 15 hectares de maïs OGM MON810. A l'époque une étude réalisée sous contrôle d'huissier mettait en évidence la contamination de tous les maïs situés à 300 m et des pollen issus de ruches à plus de 1.200 m, preuve de l'impossible coexistence des filières avec et sans OGM. La culture du maïs MON 810 fut interdite en 2008, et nombre d'autorisations de culture antérieures ont été annulées par le Conseil d'Etat pour défaut d'information.
Alors, les faucheurs auront-ils eu tort d'avoir eu raison trop tôt ?
Pour les soutenir, entrez en relation avec l'association Sans Gène http://sans-gene.org/
Alors que la tolérance zéro était jusqu'à présent la règle dans l'Union Européenne (rejet de toute importation contenant des plantes transgéniques non autorisées et non évaluées par l'AESA), la commission européenne propose de tolérer l'importation d'OGM évalués mais non autorisés.
La discussion doit avoir lieu le 15 novembre 2010, elle ne vise que les importations d'OGM à destination animale, mais risque d'ouvrir une brèche dans la protection des patrimoines génétiques.
François Michiels - Décembre 2010

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Publié le 14 Janvier 2012

poules-162-copie.jpgVoici déjà 5 ans que le fond de mon jardin abrite 2 ou 3 poulettes, un débouché tout trouvé pour les restes de cuisine, c'est vrai que mon compost souffre de la concurrence mais son bénéfice est plus lent … les poulettes, elles, me récompensent tous les jours ou presque par de beaux gros oeufs on ne peut plus frais.
Leur petit caquètement, lorsque que je sors sur le balcon, leur empressement pour voir quelle surprise va sortir de mon seau, participent au plaisir du jardin.
Pas égoïstes, elles partagent grains de blé et céréales avec les oiseaux du coin et aussi parfois les mulots.
L'été, elles sont sagement derrière leur clôture mais de temps en temps elles s'échappent, gare à mes fraises ou gare à leurs plumes si le chien est dehors, mais, à la mauvaise saison, quelles auxiliaires "z'ailées" pour gratter les massifs !
Pas de coq, mes poules, pour ménager mes voisins, sont demoiselles. Bien sûr, elles pondent quand même ! Mais, même couvés, sans coq … pas de poussin !
Et puis, à moins de les laisser vieillir tranquillement, il faut bien y penser, ne pas trop faire les autruches, un de ces jours elles rejoindront les légumes du potager pour nous faire profiter d'un pot roboratif.
Frédérique Novat

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Publié le 14 Janvier 2012

fruits et légumesLe dynamisme lyonnais en matière de soierie, Beaux Arts, gastronomie, médecine … a beaucoup apporté à la mise en place et à l’essor de l’horticulture lyonnaise qui malheureusement fut stoppé avec l’arrivée de la 1ère guerre mondiale.
Stéphane Crozat, ethnobotaniste et historien des jardins, dresse dans un récent ouvrage (1) un inventaire complet des variétés lyonnaises oubliées.
Dès le XVIe siècle, les médecins herborisent tout autour de Lyon et des institutions telles le jardin botanique de l’école vétérinaire qui se situait à la Guillotière ou le jardin des plantes de la Croix Rousse étaient chargées d’acclimater les différentes variétés de végétaux. Au XVIIIe, le fruit connaît aussi un véritable essor avec plus de 200 variétés d’arbres dont de nombreux poiriers créées dans la région.
Pour les légumes et les fleurs, c’est au XIXe siècle que le développement lyonnais est le plus fort et que la région devient l’un des grands centres horticoles au niveau international (60% des roses créées sur la moitié du XIXe siècle proviennent de Lyon).
C’est aussi sous l’impulsion de marchands grainiers telles que la famille Rivoire que les communes de Vénissieux et Villeurbanne deviennent « les rois » du concombre et du cornichon.
Les légumes tels que le cardon de Vaulx-en-Velin, le navet noir et l’endive de Caluire, la laitue de Pierre Bénite, le cardon et la bette d’Ampuis, le poireau bleu de Solaize, … méritent d’être connus et réintroduits dans nos exploitations agricoles et nos jardins.
Depuis 2008, un Centre de Ressources de Botanique Appliquée est installé au jardin du château du parc de Lacroix-Laval où des dizaines de variétés lyonnaises de fleurs, fruits et légumes ont été réintroduites.
Le « Serail » Station d’expérimentation et d’Information Rhône-Alpes situé à Brindas, cherche aujourd’hui des producteurs locaux afin de préserver et développer des variétés locales typiques et anciennes.
Comme l’indique, Stéphane Crozat, «A l’heure où l’on parle de circuits courts, il est important de réinjecter dans les circuits professionnels les variétés adaptées au territoire ».
A.G
(1) « Fleurs, fruits, légumes. L’épopée lyonnaise », est un ouvrage de Stéphane Crozat, Philippe Marchenay et Laurence Bérard (Editions Lyonnaises d’art et d’Histoire - 35 € ).

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Publié le 14 Janvier 2012

brussin-c.jpg

Nous étions 26 randonneurs en ce 26 septembre 2010 rassemblés au départ de Saint Genis les Ollières pour une douzaine de kilomètres de marche. Une sortie alliant nature et culture : le vallon du Ratier, Craponne (son mur peint, son distributeur de lait...), le vallon de l'Yzeron et le Fort du Bruissin à Francheville où nous avons fait une pause goûter et une visite. Un beau temps d'automne nous a accompagné dans une ambiance chaleureuse.
A bientôt pour une nouvelle sortie.

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Publié le 14 Janvier 2012

Bonjour-Logo.jpg

Bonjour lundi ! comment va mardi ?
très bien, mercredi.
Je viens de jeudi dire à vendredi
qu'il s'habille samedi pour danser jusqu'à dimanche.

J'ai grandi dans un petit village en Bourgogne, et je me souviens encore, petite fille, les enfants qui ne disaient pas « bonjour » à l'adulte qu'ils croisaient, étaient considérés mal élevés ou impolis.
Je me souviens aussi de ce couple australien, lors de mon voyage Down Under. Peter, en arrivant à Brisbane, après avoir quitté sa cambrousse, disait « bonjour » à tout le monde, alors qu'il croisait des dizaines de personnes, comme dans Crocodile Dundee!
Aujourd'hui, je vis dans un gros village, St Genis les Ollières, et je trouve extrêmement triste de croiser quelqu'un dans la rue qui ne lèvera même pas la tête pour me regarder, ne parlons donc pas de dire «bonjour».
Le pire je crois, c'est à la poste, alors que plusieurs personnes attendent leur tour, je dis « bonjour » à chacune d’elles, et personne ne me répond.
J'ai l'impression de vivre à Lyon. Est-ce peut-être parce que les Lyonnais sont en train de quitter la ville et qu'ils ne connaissent pas les bonnes manières de la campagne? Ils sont peut-être trop timides tous ces gens qui ne répondent pas au « bonjour » qui leur est donné...
Et si on faisait tous un petit effort pour se dire « bonjour », en se regardant droit dans les yeux, en se souriant... Je suis sûr que le monde irait mieux... Pas vous?
« Que le Soleil est beau quand tout frais il se lève,
Comme une explosion nous lançant son bonjour ! » - Charles Baudelaire

Muriel Savrot - décembre 2011

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Publié le 14 Janvier 2012

cheveche.cOn sait que la Chevêche d’Athéna, cette sympathique petite chouette aux yeux jaunes, est bien présente sur le plateau de Méginant et dans toute la commune de Sainte-Consorce. Une étude de la répartition de l’espèce avait été menée en 1999-2000 et avait permis de trouver au moins 30 couples sur un secteur de 3 000 hectares.
En 2010, l’étude a été reprise pour juger de l’évolution de cet effectif, après dix ans pendant lesquels bien des constructions de pavillons, bâtiments industriels et infrastructures diverses ont été réalisées. Alors qu’on pouvait craindre une chute importante du nombre de couples nicheurs, 28 sites occupés ont été retrouvés. Sur le plateau de Méginant, en particulier, les trois couples de 2000 ont été retrouvés en 2010. Mais la ferme de la Brosse, en limite de plateau, ne semble plus occupée, suite probablement, à l’extension considérable des bâtiments et parkings de la zone d’industrie pharmaceutique de Marcy l’Etoile.
Les principales causes de cette petite réduction sont analysées en 22 pages dans le nouveau numéro de l’Effraie, la revue du CORA-Rhône, qui vient de paraître en octobre.
N’hésitez pas à la consulter sur le site www.corafaunesauvage.fr où elle est téléchargeable gratuitement !
Dominique TISSIER  - Décembre 2010

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Rédigé par chante-ruisseau

Publié dans #Faune et Flore

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Publié le 14 Janvier 2012

Les auteurs du livre de « Côté Jardins » (1)  nous proposent une recette de Cardons à la Lyonnaise.

Les adhérents de cette association cultivent ensemble tout près de chez nous (Pont Antoine Pardon à Tassin) un grand potager collectif et bio.

Le cardon est un légume d’origine méditerranéenne. Plat traditionnel du Noël provençal il est aussi le fleuron de la gastronomie lyonnaise.
Pour 4 personnes : 1 gros cardon, 100 gr de comté ou de gruyère râpé, 3 c. à soupe de farine, 2 citrons, 4 louches de bouillon de légumes ou de pot au feu, 30 gr de beurre, sel et poivre.
Eplucher les branches et les couper en tronçons de 2 ou 3 cm. Les jeter dans l’eau fraîche citronnée pour leur éviter de noircir. Préparer une sauce avec 2 litres d’eau, 2 cuillerées à soupe de farine, un jus de citron et du sel. Remuer jusqu’à ébullition, plonger les cardons et veiller à ce qu’ils restent immergés. Laisser bouillir 1 heure et demie jusqu’à cuisson complète et égoutter.
Préparer un roux avec 30 grammes de beurre, une cuillerée à soupe de farine, du sel et du poivre. Mouiller avec 4 louches de bouillon.
Disposer les cardons dans un plat à gratin, les recouvrir avec le roux. Saupoudrer de fromage râpé et mettre au four 30 minutes. Servir dès que le plat est bien doré.
____________________________________
(1) « Les légumes passent à table » Recettes inattendues chez Terre Vivante.
Voir en page 8 le descriptif du livre.

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Publié le 14 Janvier 2012

feuilles ceriseLes quantités se font par litre de vin corsé type Sidi Brahim ou vins du Sud-Ouest français. La feuille de cerisier permet d'obtenir un apéritif proche du 'Guignolet'.
- 1 litre de vin rouge
- 1 verre de 10 cl de kirsch
- 40 feuilles de cerisier,  (ou de merisier). Les feuilles pourront être cueillies dès qu'elles sont fermes et d'un beau vert franc.
- 40 morceaux de sucre de 5 g
Préparation :   
- Cueillir laver sécher les feuilles
- Sur chaque litre de vin ôter un verre de 10 cl.
- Dans une bonbonne, ou tout récipient fermé, mettez vos feuilles et le vin.
- Laisser macérer 48 heures.    
- Retirer les feuilles.
- Ajouter le sucre.
- Quand il est fondu, aidez-le en retournant souvent... ajouter l'alcool choisi.
- Remettez en bouteilles
- Bouchez bien, étiquetez et datez.
- Peut se conserver en cave 8 à 10 ans.

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Publié le 14 Janvier 2012

cerises-AG.jpgOriginaire d’Orient, ce sont les Romains qui l’introduisent et le diffusent dans tout l’Empire. Au printemps, les fleurs de cerisiers embellissent nos jardins et le bois du cerisier peut être utile pour la fabrication des pipes mais aussi en ébénisterie.
La cerise, c’est  82% d’eau et de nombreuses qualités : riche en vitamines, fer, calcium …, ce fruit délicieux peut nous offrir d’excellentes tisanes avec ses queues, des bouillottes écolos avec ses noyaux et un très bon vin avec ses feuilles.
- les queues de cerise sont utilisées en phytothérapie pour leurs qualités diurétiques et dépuratives. Elles permettent notamment de désintoxiquer l’organisme en favorisant le fonctionnement des reins … Utilisation en tisane : 20 gr de queues en infusion durant 10 minutes dans un litre d’eau bouillante avant de filtrer. A boire après chaque repas (matin, midi et soir).
- les noyaux seront lavés, brossés et séchés à l’air puis introduits dans une enveloppe en tissu de coton ou de lin (avec une fermeture éclair afin de les laver régulièrement). Le noyau de cerise a la propriété d'accumuler de la chaleur et de la restituer lentement grâce à sa forte inertie thermique (nettement supérieure à l'eau des bouillottes). L’enveloppe doit être malléable et souple et non pas remplie totalement et compacte. Prévoir 500 gr de noyaux pour une enveloppe 20x20 cm
Chauffer la bouillotte au four ou sur un radiateur et appliquer sur les zones du corps endolories ou à réchauffer (excellent pour les torticolis).
- les feuilles de cerisier permettent d'obtenir un apéritif proche du 'Guignolet'.

A.G.

 

Un apéritif avec des feuilles de cerises !
feuilles-cerise.jpgLes quantités se font par litre de vin corsé type Sidi Brahim ou vins du Sud-Ouest français. La feuille de cerisier permet d'obtenir un apéritif proche du 'Guignolet'.
- 1 litre de vin rouge
- 1 verre de 10 cl de kirsch
- 40 feuilles de cerisier,  (ou de merisier). Les feuilles pourront être cueillies dès qu'elles sont fermes et d'un beau vert franc.
- 40 morceaux de sucre de 5 g
Préparation :   
- Cueillir laver sécher les feuilles
- Sur chaque litre de vin ôter un verre de 10 cl.
- Dans une bonbonne, ou tout récipient fermé, mettez vos feuilles et le vin.
- Laisser macérer 48 heures.    
- Retirer les feuilles.
- Ajouter le sucre.
- Quand il est fondu, aidez-le en retournant souvent... ajouter l'alcool choisi.
- Remettez en bouteilles
- Bouchez bien, étiquetez et datez.
- Peut se conserver en cave 8 à 10 ans.

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Rédigé par chante-ruisseau

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