Publié le 24 Mai 2020
Martine Ponthet, notre animatrice du Troc Plantes, vous présente ses roses en Mai :


Faire découvrir et aimer la nature et l'environnement qui nous entourent afin de les préserver. La commune de Saint-Genis-les-Ollières (Rhone) ainsi que l’Ouest Lyonnais constituent nos principales zones d'action.
Publié le 24 Mai 2020
Martine Ponthet, notre animatrice du Troc Plantes, vous présente ses roses en Mai :
Publié le 24 Mai 2020
Frédérique Novat nous propose de faire connaissance avec cette plante.
La connaissez-vous ?
La réponse ici ....
Publié le 20 Mai 2020
Martine Ponthet nous adresse ses iris d'avril et de mai.
Une orchidée de jardin chez Chantal Honoré qui prépare sa floraison : la Bletilla striata.
Les pétunias font le mur à la Maison Picaud Brosse.
Une Pivoine officinale par Agnès Collonges.
Une surprise Rue des Usclards ... à déterminer.
Publié le 17 Mai 2020
Les reconnaissez-vous ?
1. Mélitte à feuilles de mélisse
2. Oxalide
6. Erodium
7. Berce
8. Géranium
9. Myosotis
10. Camomille
Cliquez sur le nom de la fleur pour avoir une image agrandie.
1. Mélitte à feuilles de mélisse
Melittis melissophyllum (Famille : Lamiacées)
Plateau du Méginand à Tassin la Demi Lune - 15 avril 2020 - Photo AG
2. Oxalide
Oxalis (Oxalidacées)
le Grand Chêne à Saint Genis les Ollières - 18 avril 2020 - Photo AG
3. Raiponce en épi
Phyteuma spicatum (Campanulacées)
Vallon du Méginand à Saint Genis les Ollières - 15 avril 2020 - Photo AG
4. Sénéçon Jacobée ou Séneçon de Jacob
Jacobaea vulgaris (Astéracées)
Le Grand Chêne à Saint Genis les Ollières - 21 avril 2020 - Photo AG
5. Epervière piloselle
Pilosella officinarum (Astéracées)
Le Grand Chêne à Saint Genis les Ollières - 18 avril 2020 - Photo AG
6. Erodium
(Géraniacées)
Quartier de l'Eglise à Saint Genis les Ollières - 21 avril 2020 - Photo AG
7. Berce
Heracleum (Apiacées.)
Vallon du Ribes à Saint Genis les Ollières - 23 avril 2020 - Photo AG
8. Géranium mou ou géranium à feuilles molles
Geranium molle (Geraniaceae)
Chapoly à Saint Genis les Ollières - 22 avril 2020 - Photo AG
9. Myosotis ou oreille-de-souris
Myosotis (Boraginaceae)
les Usclards à Saint Genis les Ollières - 22 avril 2020 - Photo AG
10. Camomille romaine
Chamaemelum nobile (Astéracées)
Rue de Chapoly à Saint Genis les Ollières - 11 avril 2020 - Photo AG
Publié le 12 Mai 2020
QUIZ Fleuri (3) : Elles sont présentes dans nos vallons et dans nos jardins.
Reconnaissez-vous certaines d'entre-elles ?
Les réponses vous seront indiquées sous quelques jours, mais en attendant n'hésitez pas à nous donner vos réponses dans les commentaires ...
Publié le 9 Mai 2020
Une butineuse près d'une phacélie sur le Plateau du Méginand (Photo : Antonio Gonzalez)
Une très belle émission de France-Inter pour nous faire découvrir le monde extraordinaire des abeilles.
François Burnens et François Huber, deux naturalistes suisses, dont l’un était aveugle, découvraient la fécondation de la reine abeille, dans les airs, à l’extérieur de la ruche… pendant que la France vivait le Révolution.
Jean-Claude Ameisen a su mêler avec brio science et poésie pour nous raconter la vie de ces butineuses qui "dérobent aux fleurs l'ambre pour donner aux hommes le miel…" (Victor Hugo).
Fermez les yeux et laissez-vous emporter par ce récit.
https://www.franceinter.fr/emissions/sur-les-epaules-de-darwin/sur-les-epaules-de-darwin-02-mai-2020
Publié le 6 Mai 2020
Une abeille maçonne :
L’osmie (appelée aussi « abeille maçonne ») est une abeille sauvage et solitaire. Cet insecte est très discret mais des signes particuliers indiquent sa présence. Généralement ce sont des trous d’évacuation des fenêtres ou des interstices dans les portes emplis de terre. Tous ces petits trous sont très recherchés par l’osmie pour y déposer ses œufs.
Cette abeille, bien que possédant un dard, est inoffensive, et de plus, elle est une grande pollinisatrice. Une femelle d'osmie est comparable à 120 abeilles domestiques.
François Michiels a surpris ce couple d'osmies (abeilles solitaires) sur le plateau du Méginand
Le carabe :
Le carabe est l’ami du jardinier …
Larves comme adultes se nourrissent de limaces et d’escargots mais aussi de pucerons, de vers, chenilles … La larve du carabe a ceci de particulier, par rapport à d'autres larves d'insectes, qu'elle mue trois fois avant de passer au stade suivant (la nymphose).
Larve de carabe au Méginand (Photo : François Michiels)
Couple de Moines - Cantharis rustica - ( Photo : Antonio Gonzalez)
Insecte amateur de fleurs et surtout des ombellifères. Il se nourrit aussi d'autres insectes floricoles.
La Cétoine grise, appelée aussi "Drap mortuaire" - Oxythyrea funesta - (Photo : Antonio Gonzalez)
Elle est facilement reconnaissable puisqu'elle est entièrement noire et tachée de blanc, avec de longues soies (les "poils" des insectes) blanches dressés vers le haut.
C’est une des cétoines les plus communes dans les fleurs de nos jardins.
Publié le 6 Mai 2020
Lézard venant saluer le promeneur (Photo : Charlotte Klein)
On appelle autotomie l’étonnante capacité qu’ont les lézards de régénérer leur queue.
En effet, la queue détachée par un prédateur (bien souvent le chat) « repousse » : elle se régénère, mais la nouvelle queue reste plus courte que l’originale (9 cm en moyenne contre 13 cm pour une queue d’origine).
Un lézard à la queue régénérée se reconnaît de loin à la coloration différente de la nouvelle queue.
Publié le 6 Mai 2020
Hélène Klein, notre secrétaire s'est inquiétée de voir des haies complètement dévastées par ces chenilles. au niveau des Pierres Blanches et dans le vallon du Ratier au niveau de la Voie Verte.
Elle a contacté l'association FNE-Rhône pour en savoir davantage.
Chenilles du papillon Hyponomeute du fusain (Photos : Patrick Klein)
Pas d'inquiétude : elles ne sont pas dangereuses pour les haies et ne sont pas urticantes pour l'homme.
Réponse de Yann Vasseur de FNE-Rhône (ex Frapna)
« Ces chenilles sont un classique du printemps dans les haies. Il s'agit d'un petit papillon nommé Hyponomeute du fusain et qui, comme son nom l'indique, consomme le feuillage des fusains.
Si cela s'avère très spectaculaire, des études d'entomologistes allemands ont montré que la relation de la plante et de l'insecte était finalement bénéfique pour la plante : les chenilles, consommant un premier feuillage qui subit parfois les gelées et donc abîmé, produisent quantité de crottes en un temps record qui se décomposent au pied de l'arbuste et nourrissent la plante à leur tour, qui produit alors un second feuillage, plus tardif mais plus résistant.
De plus l'insecte est bien de chez nous, il ne s'agit pas d'une espèce invasive exogène. Rien à voir avec la Pyrale du Buis donc!
Le plus simple est donc de laisser faire la nature (beaucoup d'oiseaux comme les mésanges et d'insectes parasites vont se nourrir à cette période encore difficile pour eux de ces chenilles) et elle ne s'en portera que mieux. Il faut juste accepter d'avoir sous les yeux des arbustes défoliés et porteurs de toiles durant quelques temps avant la deuxième feuillaison.
Des traitements existent bien entendu, comme les traitement au BT, indiqués en lutte bio : MAIS ATTENTION, ce traitement est très destructeur pour tous les insectes, même ceux que l'on souhaite protéger, contrairement à ce qui est indiqué sur la boite!
Le mieux est donc de patienter encore un peu: dans ma région du Nord Isère, la pullulation (annuelle je le rappelle), a eu lieu dès la mi-mars, et les fusains ont retrouvé toute leur splendeur".
Un grand merci à Yann pour ces précieuses informations !
Publié le 3 Mai 2020
Un tapis d'œillets des Chartreux vers Chapoly par Hélène Klein.
... et puis cette cabane dans le vallon du Ribes : "Sympa sauf pour le foyer qui se trouve sous le chêne : il ne faudrait pas que le feu prenne à l’arbre…" par Hélène Klein.
Cymbalaire ou "Ruine de Rome" (rue Marius Poncet) par Bénédicte Gally
Sceau de Salomon (Vallon du Ratier) par Bénédicte Gally
Ici, "l'Aspérule odorante (Galium odoratum) qui fait de beaux tapis blancs en avril à l'ombre et avec laquelle je fais du vin de mai", par Martine Ponthet.
"Le Bugle rampant (ajuga reptans) qui s'insinue régulièrement dans mes plates-bandes sans être trop agressif", par Martine Ponthet.
Genêt et aubépine après les Pierres Blanches (vallon du Ratier) par Patrick Klein