Publié le 18 Septembre 2012

Troc aux Plantes et Brocante de jardin d’automne - Dimanche 28 Octobre 2012 - Place Pompidou de 9h à 12h à St Genis les Ollières. 

Le temps des plantations est là, venez échanger vos boutures, graines, conseils ….. lors de cette matinée conviviale.

Vous souhaitez un emplacement pour vendre ou échanger outils, revues, tenues de jardinier, accessoires, déco, dallage, éclairage, mobilier de jardin. Inscription obligatoire avant  le 24 octobre auprès de Chantal 04 78 57 24 69 ou de Martine au 04 78 57 53 46.

Adhérents de Chante-ruisseau : gratuit. Autres 2,50€ l’emplacement.

Ce qui ne se rapporte pas au jardin sera refusé.

 

brocante-troc-CR-2012.jpg

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Publié le 18 Septembre 2012

Participation de Chante-Ruisseau à « Familles en fête »

Dimanche 7 Octobre 2012

avec un Quizz Nature lors des randonnées - départs entre 8h30 et 10h au gymnase de la Vuldy à Saint Genis les Ollières.

 

Flyer-Famille-en-fete-V3-1.jpgFlyer-Famille-en-fete-V3-2.jpg

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Publié le 17 Juillet 2012

Ces nettoyages s'inscrivent dans le cadre des actions citoyennes développées par notre association pour faire connaître/sensibliser à l'environnement.

Principalement sous forme de "Nettoyages de ruisseaux" ou "Nettoyages de Printemps", nous avons prélevés plusieurs dizaines de mètres cubes de déchets divers et variés à une époque où nos ruisseaux étaient vraiment très encombrés et très délaissés (de 1996 à 2000). D'autres actions ont eu lieu en 2004, 2010 et 2011.

Cette courte vidéo nous résume la sortie de 1996 ...

Chante-Ruisseau fait encore des siennes et s'attaque sauvagement aux ruisseaux de St Genis... où quand de nombreux bénévoles décapent le ruisseau du Ratier ... 

 
Chante-Ruisseau fait encore des siennes et s'attaque sauvagement aux ruisseaux de St Genis... où quand de nombreux bénévoles décapent le ruisseau du Ratier ...  le 24 mars 1996
nettoyage 2006 texte Nicolas Sch

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Publié le 15 Juillet 2012

A Chante-Ruisseau on aime les arbres et nous avons voulu les mettre à l'honneur lors d'une exposition photo à l'occasion des journées du développement durable.

Cette exposition s'est déroulée du 17 au 26 juin 2004 à l'espace culturel l'Escale.

 

 "Le chêne ... et les autres"

Paysages à Saint Genis les Ollières et à Grézieu la Varenne.

  Promenade catalogue au fil des saisons à travers les photos de Pierre Mas  

 

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Publié le 12 Juillet 2012

En Juin 2004, l'été s'annonce radieux.

Hélène Klein m'annonce que son pére suit de près les aventures d'une famille de faucons qui nidifie dans un trou du clocher de l'église de notre village.

M. Vuillemot me propose de monter sur son toit afin de faire ce petit film et conserver la trace de cette aventure.

En cet fin d'après-midi du 12 juillet 2012, j'observe et surtout j'entends une autre famille de faucons qui s'est installée  dans les cédres de la propriété voisine à mon jardin. Le jeunes se préparent à la vie active et poursuivent leur apprentissage en volant autour des hauts connifères avec leurs cris caractéristiques.

 

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Publié le 10 Juillet 2012

Paroles d'Henri Goudaud, d'après un poème de Vitezlav Nezval

Quand le monde sera une étable comblée

Quand les guerres seront finies
Alors buvez mon chant comme du thé au lait
Dans des tasses myosotis
Vous affamés d'hier ombres maigres et dures
Mon chant est un ruisseau mon chant est une mûre

Quand le chœur des humains fera sonner le monde
Comme un atelier de potier
Alors mangez mon chant dans une assiette ronde
Ornée d'un motif d'oignon bleu

Vous affamés d'hier ombres maigres et dures
Mon chant est un ruisseau mon chant est une mûre

Dans ce monde incertain comme barque qui penche
Mordez dans mon chant travailleurs
Comme dans le pain blanc du matin à dents franches
Le pain blanc à la fraîche odeur

Vous affamés d'hier ombres maigres et dures
Mon chant est un ruisseau mon chant est une mûre

O ma patrie de monts et de rivières vertes
Moi qui t'invoque à chaque instant
Je suis comme le coq dressant au ciel sa crête
Je chante et chante tout le temps

Vous affamés d'hier ombres maigres et dures
Mon chant est un ruisseau mon chant est une mûre


 

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Publié le 10 Juillet 2012

Chante-Ruisseau à voulu en 2002 remettre à l'honneur une ancienne tradition festive et créatrice de lien : les Feux de la Saint Jean.

Les deux fêtes de la Saint-Jean

Le feu est un symbole très présent aux solstices ou aux équinoxes. Fréquemment occasion à des feux cérémoniels, la nuit du solstice (du latin sol stare évoquant "l'arrêt" du soleil) d'été était ainsi réputée surnaturelle, comme d'autres nuits du printemps telles la Pâques ou la Saint-Georges.

Quoi qu'il en soit, la "Saint Jean d'été" (Solstice d'été, St Jean Baptiste, 24 Juin) et la "Saint-Jean d'Hiver" (Solstice d'hiver, St Jean l'Evangéliste, 27 Décembre) forment un couple étonnement contrasté. Alors que la première est une fête d'extérieur, à la fonction sociale affirmée grâce aux "feux de joie", la seconde est une fête d'intérieur toute familiale qui s'est longtemps manifestée autour d'une bûche dans la cheminée (la "bûche de Noël" ). 

La Saint-Jean d'été comme la Saint-Jean d'hiver furent établies par l'Eglise pour "christianiser" les coutumes païennes préexistantes : la Saint Jean-Baptiste fut placée le 24 juin et la "Saint-Pierre Saint-Paul" le 29 juin ; de même, le choix du 25 décembre pour la nativité du Christ ("Noël" ; apparu vers 330) n'était pas anodin, il était destiné à "couvrir" les fêtes païennes du solstice d'hiver. Ceci explique qu'à plusieurs reprises l'Eglise se soit élevée contre les usages superstitieux, danses et "immodesties" de cette fête du Solstice (dans certains lieux, la pratique du feu de joie expiateur était considérée comme "diabolique"). 

Notons, enfin, que Saint Jean le Baptiste est, avec le Christ et la Vierge, le seul Saint dont on célèbre la nativité : c'est habituellement la date de mort d'un saint, sa "naissance à la vie nouvelle", qui est retenue pour sa fête. Le "dernier prophète" avait annoncé : "Il faut que lui (le Christ) grandisse et que moi, je décroisse".

 

 

Chante-Feux… ou,« comment Chante-Ruisseau renoue avec la tradition Celte »

Article écrit par Christian Schirvel pour annoncer le feu d'hiver de décembre 2002 dans "Le Petit Journal de Chante-Ruisseau" ,N°14 Octobre 2002.

21 juin… Saint-Jean d’Eté… 21 décembre… Saint-Jean d’Hiver…

Deux dates importantes dans de nombreuses religions et croyances antiques. Deux événements que Chante-Ruisseau essaie de faire revivre sur St Genis les Ollières. En effet , drôle d’idée de vouloir faire un grand feu le 21 juin, quand tout le monde étouffe de chaleur ! Bonne idée, par contre de faire la même chose le 21 décembre… on y pense vraiment à Chante-Ruisseau de faire un Chante-Feu hivernal ! Mais ces deux dates sont reliées l’une à l’autre : décembre, c’est le solstice d’hiver, là où la nuit est la plus longue et le jour le plus court… on a l’impression, depuis quelques semaines, de s’enfoncer dans les ténèbres à jamais ! Mais le soleil gagne toujours et il relève la tête dès le 22 décembre… A cette occasion, on fait un feu, nécessaire à cette époque. La tradition voulait que l’on conserve de ce feu, un bûche qui n’aurait pas tout à fait brûlé. Notre bûche de Noël doit son origine à cette tradition. Puis, après être monté au zénith, notre beau soleil arrive au maximum de sa course et, dès le lendemain du 21, à son apogée, doit penser à redescendre. Symboliquement, à cette occasion, la tradition voulait qu’on fasse un grand feu, même si le temps ne le nécessitait pas. Ce feu devait être allumé avec la bûche conservée du feu de décembre précédent, afin de montrer que « tout était dans tout » et que le soleil, même victorieux, était aussi soumis à la nature… Ce « rituel » permettait de lier le passé au futur, en passant par le présent : d’où venons-nous, qui sommes-nous, où allons-nous ???

Un programme intéressant, non ?

Mais, pour Chante-Ruisseau, c’est surtout l’occasion d’organiser une super-fête entre amis pour y boire des coups, y manger, y chanter, y danser… tout en rappelant l’existence de vieilles traditions proches de la nature.

Rendez-vous à tous le 21 décembre !

 

Vous pouvez visionner ci-après un Rando-Trouille ou Feu de la Saint Jean d'hiver organisé par Chante-Ruisseau avec le concours des comédiens de "Masque et Pinceaux" - Décembre 2003.

Quand des sorcières visitent les forêts de Saint Genis les Ollières un soir de décembre et s'invitent au feu de la Saint Jean d'hiver ...

 https://www.youtube.com/watch?v=46EeFsNaJQY

 

 

 La fête de la Saint-Jean d'été

Une fête d'extérieur : La fête de la Saint-Jean doit être l'occasion de se rassembler, de se retrouver, de fraterniser. C'est une fête communautaire rassemblant tous les villageois et le feu était dressé à un endroit facile d'accès (une place, un lieu en hauteur, une croisée de chemins...).

Une fête sociale : Les "feux de joie", allumés par un prêtre, un notable ou le doyen de l'assemblée, donnaient à la nuit un caractère festif. A Paris, c'était le roi de France lui-même qui allumait le feu de la Saint-Jean. de façon générale, ce pouvait être l'occasion de danser ou d'organiser un bal populaire, et il était de coutume que les futurs ménages se déclarent ce soir-là.

Une fête expiatrice : On jetait autrefois dans les feux des créatures maléfiques, relatives aux sorcières (chats, crapauds, couleuvres...), et encore aujourd'hui on y lance des "sorcières", mannequins de paille ou de pâte à papier au nez crochu. Les croyances populaires associaient aussi la fête de la Saint Jean aux fées, aux lutins et aux esprits

Une fête protectrice : Les feux étaient réputés protecteurs des récoltes et la fumée qui s'en dégageait était censée purifier les danseurs et le bétail. On les disait fécondants, ce qui explique qu'on les enjambait volontiers. Les sauts promettaient aussi de se marier dans l'année et préservaient des maladies. Enfin, cendres et tisons, supposés garantir de la foudre et de l'incendie, étaient conservés ou répartis dans les champs.

Une fête magique : Les coutumes autour de l'eau (sources, fontaines, cours d'eau, mer...) étaient au moins aussi importantes que celles autour du feu. On en buvait, on en donnait à boire aux animaux, on s'y baignait... La rosée du matin était également investie de vertus magiques : on la recueillait dans un drap et on s'y roulait, par exemple ; et les "herbes de la Saint-Jean" qui en étaient imprégnées étaient cueillies comme talismans ou comme "herbes guérisseuses".

Vous pouvez visionner ci-après une vidéo annonçant le feu de juin 2005 organisé par Chante-Ruisseau.

      cliquez sur ce lien     https://www.youtube.com/watch?v=BhL9yNCQsnM

Elle vous donne un court aperçu de l'ambiance familiale et très joyeuse de ces soirées de feu de la Saint Jean dans notre village. 

 

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Rédigé par chante-ruisseau

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Publié le 28 Juin 2012

de-gaulle.jpg« Par rapport à l’existence individualiste de ruraux, d’artisans, de commerçants, de rentiers, qui depuis tant de siècles avait été celle de nos pères, les Français d’aujourd’hui se voient contraints, non sans quelque peine, à une vie mécanisée et agglomérée.
Aux usines, ateliers, chantiers, magasins, le travail exige des gestes uniformément réglés, dans d’immuables engrenages, avec les mêmes compagnons. Point d’imprévu dans les bureaux où l’on ne change ni de sujets ni de voisins, suivant les lignes sans fantaisie d’un plan ou les schémas d’un ordinateur. N’étaient les aléas que comportent les intempéries, l’agriculture n’est plus que la mise en œuvre d’un appareillage automatique et motorisé en vue de productions étroitement normalisées. Quant au commerce, il s’installe en marchés-type, rayons de série, publicité autoritaire. Le logement de chacun est un alvéole quelconque dans un ensemble indifférent. C’est  une foule grise et anonyme que déplacent les transports en commun et nul ne roule ou ne marche sur une route ou dans une rue sans s’y trouver encastré dans des files et commandé par des signaux.
Les loisirs même sont, à présent, collectifs et réglementés : repas rationnellement distribués dans des cantines ; acclamations à l’unisson dans les enceintes des stades sportifs ; congés qui se passent sur des sites encombrés, parmi des visiteurs, campeurs, baigneurs, alignés ; détente du jour et de la nuit, chronométrée pour les familles dans d’homothétiques appartements où toutes, avant de s’endormir, voient et entendent simultanément les mêmes émissions des mêmes ondes. Il s’agit là d’une force des choses, dont je sais qu’elle est pesante à notre peuple plus qu’à aucun autre en raison de sa nature et de ses antécédents et dont je sens que, par une addition soudaine d’irritations, elle risque de le jeter un jour dans quelque crise irraisonnée ».
Charles de Gaulle, Mémoires d’espoir, L’effort (1962 …), Ed. Plon, 1971.

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Publié dans #Ecologie politique

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Publié le 28 Juin 2012

Oui, les jeunes jardinent de plus en plus. La crise économique devrait amplifier le mouvement. Jardineront-ils demain comme leurs aînés ?
Certainement pas. Chaque génération a ses propres motivations, en revanche, ils comptent sur les anciens pour leur transmettre du savoir.
Pendant tout le mois de mars j’ai pu récolter tous les jours quelques herbes pour faire une salade ou une omelette. Si ceci vous intéresse, prenez contact avec Clemens au 33, rue Marius Poncet à Saint Genis les Ollières ou par téléphone au 04 78 57 65 68. Il partagera avec vous ce qu’il a de trop dans son jardin devenu trop grand depuis que les enfants ont quitté le domicile de leurs parents.
Vous serez les bienvenus.
Clemens V.

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Rédigé par chante-ruisseau

Publié dans #Cultivons notre jardin

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Publié le 28 Juin 2012

compost-003.jpgIl y a 2 - 3 ans, j'assemble les planches restantes de ma cabane de jardin pour construire un bac à compost d'environ 1,20m de côté.
Nous y mettons les déchets de cuisine : épluchures, restes… mais ni viandes, ni fromages, ni les tontes de jardin, ni les papiers type mouchoirs, essuies mains.
1ère surprise : nous réduisons de moitié (sinon plus) nos déchets ménagers. A l'époque, nous ne sortons plus la poubelle grise qu'une fois par semaine !
2ème surprise : nous emmenons les résidus d'épluchure, mais le tas de déchets se réduit tout seul, à vue d'œil !...
3ème surprise : l'été dernier, des feuilles surgissent du tas de compost : un plant de courgette ?... les semaines passent…. Et de jolis potirons montrent leur nez !... et finiront en soupe et en gratins…
4ème surprise : pas d'odeur, pas d'insecte ou d'animaux….
5ème surprise : ce printemps, pour faire ses plantations annuelles,  mon épouse soulève le tas et découvre une belle terre fine, brune et riche !... elle ramènera le sac de terreau à la Jardinerie !
1er constat : les branches plus grosses que le petit doigt ne sont pas encore décomposées, ni les noyaux ou les peaux d'avocat, ou les coques de noix, pas plus que les œufs si les coquilles ne sont pas broyées. Nous les écarterons, et nous achetons un tamis pour éliminer ces grosses particules.
2ème constat : nous n'arrosons ni ne retournons le tas (peut être, nous dit on, parce que nous n'y mettons pas les tontes de gazon que nous étendons en paillage sur les plantations ou au pied des arbres).
3ème constat : j'ai acheté quelques planches de lambris pour aménager un second bac afin de laisser reposer le premier et pouvoir y puiser dedans.
Que "mère nature" est bien faite et généreuse !... Sachons l'utiliser à bon escient.
En ces temps de propositions, pourquoi ne pas envisager que chaque maison avec jardin s'équipe d'un bac à compost, que les immeubles puissent aménager des bacs collectifs, inciter les restaurants à recycler aussi ces déchets verts, et pourquoi ne pas aménager des bacs dans des espaces public ?!
Osons les utopies, surtout si elles sont respectueuses de l'environnement…
Jean-Paul Roussillo

 

Un autre témoignage : le lombricompostage.


Yolande Margot de Vaugneray est attirée par l’écologie et s’intéresse à la préservation de l’environnement.
Alors, lorsque sa fille lui offre un lombricomposteur pour la fête des mères elle a tout de suite franchi le pas. Facile à installer à l’intérieur ou en extérieur, il permet de transformer vos déchets domestiques en compost organique. Ici, il a été installé dans un abri près de sa poubelle. Yolande a préparé son lombricomposteur qui se présente comme un petit meuble en plastique avec trois bacs où l’on dépose ses déchets de cuisine. Ensuite ce sont les vers qui en se nourrissant de déchets ménagers, fabriquent un terreau organique sans odeur. Un petit robinet permet également de récupérer un jus appelé «thé de ver » qui est un engrais très apprécié des plantes.
Les avantages pour Yolande sont nombreux:  «  J’allège mes poubelles car je réutilise mes déchets - surtout les épluchures- et je réalise un  recyclage direct pour le bonheur de mon jardin et de mes plantes. Ma démarche, c’est une petite goutte dans l’océan mais  pour moi c’est valorisant … », précise-t-elle.


Pour en savoir plus :
http://www.sicoval.fr/documents/Lombricompostage_Ecosphere.pdf

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Rédigé par chante-ruisseau

Publié dans #A faire - à ne pas faire

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